Un nouveau tournant de vie

Chers toutes et tous,

voici quelques temps que je ne suis pas venue vous partager des moments de vie. Le fait est que je les partage dans mon espace Facebook principalement mais je vais aussi venir les mettre ici dorénavant car tout le monde n’est pas sur les réseaux sociaux.

Voici mes derniers « posts » (articles) sur Facebook. Je vous les mets car c’est une chronologie de développement qui fait suite à tout un processus que j’ai entrepris l’automne dernier en débutant une formation complémentaire au niveau thérapeutique, les méthodes PEAT dont j’ai obtenu la certification le 1er juillet dernier.

Pour vous situer, depuis le début de cette formation – où nous devions pratiquer sur nous-mêmes avant tout -, j’ai décidé de travailler principalement sur l’argent, l’amour, l’abondance en général dans ma vie, et mon surpoids. D’un côté comme de l’autre, ces sujets m’ont ramenée à la violence que j’ai vécue dans mon enfance et j’ai enfin pu dénouer des noeuds et croyances et guérir de profondes blessures. En voici quelques étapes et résultats en cours de réalisation :

 

1er juillet

Je suis moins présente, avec mes mots, ces temps-ci car il se passe plein de belles choses, un beau cheminement, une belle ouverture qui est en train de se créer. De belles guérisons qui m’amènent à créer de nouveaux projets mais dont je ne peux pas encore parler.

La réflexion, les prises de conscience, les ouvertures sont en train de se poser.

J’ai « lâché » quelques kilos physiques sans « rien » faire, par exemple, juste à guérir des blessures profondes.

Je me suis lancée dans un programme pour amener mon entreprise à un niveau supérieur, ce que je n’aurais pas fait il y a 2 ou 3 mois. C’est un saut dans le vide que j’ai fait et j’en suis très fière et heureuse.

Je dépose clairement mes objectifs, mes projets. Je les détaille tel que mon coeur me les dicte. Je commence à les visualiser clairement au fur et à mesure des mots que je dépose dans mon journal.

Après tant d’années à « travailler » sur moi pour comprendre les blocages à l’abondance et à lâcher du poids physique, le travail avec les méthodes PEAT ainsi qu’avec le programme de Marie Guérin me permettent de voir clairement ce qui m’empêchait encore d’attirer à moi tout ce que je désire mais aussi que ce ne sera pas compliqué, avec les outils que j’ai et les personnes qui m’entourent, de les manifester à l’infini.

Plusieurs personnes ont remarqué que je suis plus visible sur le net, sur les réseaux sociaux notamment, et c’est vrai. J’ose me montrer plus 😉

J’ai énormément de gratitude, ce matin, en écrivant ces mots, envers moi pour tout le chemin parcouru et les résultats qui commencent à pointer leur nez, et envers les personnes avec qui je chemine comme Danielle Soleillant et toute l’équipe de la formation PEAT, des collègues de cheminement dont certaines sont devenues des amies chères.

J’ai toujours su qu’un jour, les portes allaient s’ouvrir, que j’allais comprendre ces blocages et pouvoir enfin ouvrir toutes les portes de l’abondance de bonheur et d’argent, d’amour et de confiance, et c’est en train de se passer.

Je vois aussi, avec les clients que j’ai en consultation, combien les résultats sont étonnants et j’en suis toujours profondément émue et reconnaissante de pouvoir être là pour aider et guider chaque personne à pouvoir, elles aussi, s’ouvrir à la Vie et à l’Abondance.

Pour terminer, je vous dirai juste que la cause de tous les blocages que j’avais envers l’argent, la réussite sociale et professionnelle, envers le fait de laisser entrer un amoureux dans ma vie, et envers le fait de retrouver un corps physique dans lequel je me sens bien, provenait d’une même chose : la violence physique et psychologique que j’ai vécues avec mon beau-père dès l’âge de 5 ans. Au fil des ans, j’en avais compris et guéri un peu mais tout ce que je vois émerger ces derniers mois n’était jamais remonté.

Tout n’est pas encore guéri mais je suis enfin sur le chemin de la guérison finale de ces moments profondément traumatiques que j’ai vécus et qui m’ont empêchée de vivre pleinement ma vie.

J’ai toujours cru et su qu’un jour, les portes s’ouvriraient pour moi aussi et j’en suis aujourd’hui profondément reconnaissante. Je n’ai jamais perdu espoir et j’ai toujours continué à rêver mes rêves afin qu’ils se réalisent. J’en ai réalisé beaucoup… et je me réjouis de réaliser les prochains !

Je vous souhaite de tout coeur de vivre ce cheminement de guérison et d’ouverture. Nous le méritons tous et c’est à chacun d’aller découvrir, identifier, comprendre et guérir ses blessures pour enfin vivre heureux…

PS : je viens d’obtenir ma certification en méthodes PEAT aujourd’hui !

De tout coeur

Dominique

 

3 juillet

Je vous parlais avant-hier des causes des freins à l’abondance que je « travaille » depuis très très très longtemps et qui commencent à émerger et guérir, des causes reliées, notamment, à la violence de mon beau-père dans ma jeunesse.

En continuant mon cheminement, cette semaine avec une collègue, j’ai pu aller encore plus loin. Je me suis retrouvée dans une grosse émotion et une image très claire : à Paris, sur un trottoir dans les années début 1800 probablement. Sale, pauvre, sans abri alors que, de l’autre côté de la rue, sur le trottoir d’en face, se trouvaient les riches qui semblaient être heureux.

Le processus a avancé et j’ai alors vu la polarité dans laquelle je vis depuis toujours : la pauvreté versus la richesse. Vivre avec juste assez sans jamais avoir plus. L’histoire de ma vie. J’ai senti alors, dans toutes mes cellules, un poids qui ne m’appartenait pas et qui datait de très loin :

Je me suis vue sous un pont de Paris, seule et sale, vivant avec des sans abri, un grand vieux manteau. J’étais un rejet de la société. C’était très clair. Pauvre, seule et ne faisant pas partie de la société.

A moindre effet, c’est ce que j’ai toujours senti et vécu dans cette vie-ci, depuis toute petite. De vie en vie, on évolue…

C’est alors qu’une force intérieure, mon âme, un guide, peu importe, m’a fait avancer et remonter le chemin depuis sous le pont pour monter vers la rue.

J’ai senti ma tête émerger, comme si j’avais vécu si longtemps sous l’eau. Encore quelques processus et j’ai finalement pu remonter complètement à la lumière et neutraliser cette polarité en moi pour qu’elle n’existe plus et que je puisse m’ouvrir enfin à la richesse à tous les niveaux de ma vie.

Ce processus a été guidé par une amie en méthodes PEAT même si je me suis clairement retrouvée dans une vie passée. En effet, peu importe la datation de la croyance ou de la blessure, on ne travaille que sur l’émotion qu’elle nous fait vivre et c’est ce qui permet la guérison avec ces méthodes.

Je sens que j’ai lâché un gros morceau, profond, que je n’avais jamais touché, pas à ce point en tout cas. Je laisse maintenant mes cellules absorber le processus. Je sais que des choses vont continuer à s’améliorer dans ma vie, comme cela se produit depuis que j’ai commencé cette nouvelle formation l’automne passé.

J’ai toujours su qu’il ne suffit pas de mettre en pratique toutes sortes de techniques de marketing ou de faire des « devoirs » d’affirmations de coachs pour s’ouvrir à l’abondance. Il est primordial d’aller guérir notre passé et cela arrive quand on est prêt.

Au fait : je ne vous ai pas dit mais j’ai reçu ma certification (oralement, le diplôme va arriver !) en méthodes PEAT le 1er juillet ! Je peux donc officiellement oeuvrer à titre de praticienne Méthodes PEAT !

Je vais continuer à vous parler de mon cheminement de temps en temps car ce qui se passe est vraiment… wow… et je suis heureuse de vous le partager.

Je vous souhaite un merveilleux week-end et à très bientôt

De tout coeur
Dominique

 

5 juillet

Ce matin, j’ai fait une session avec une collègue qui m’a permise de continuer sur la lancée de la guérison de ce qui m’empêchait d’attirer l’abondance et de me mettre en avant, de prendre ma place véritablement dans ma vie.

La sensation de départ était ma peur de réussir, peur inconsciente que je savais être là pour éviter de me faire voir, de me sentir jugée, de me mettre en avant, etc… Nous avons tant de raisons de ne pas réussir même si c’est ce que nous désirons profondément.

Cette étape m’a ramenée à un jour où, seule dans ma chambre en train de faire mes devoirs à mon bureau (j’avais environ 8 ans), la porte s’ouvrit étrangement, poussée par la main de ma maman. Trois autres dames passèrent la tête dans l’entrebâillement et j’entendis alors une des dames s’exclamer : « Alors c’est elle, le petit génie ?! ».

Ma mère a timidement répondu « Oui » avant de refermer la porte et de retourner au salon jouer au bridge avec ces dames.

Personne ne m’avait jamais fait comprendre que j’étais bonne, encore moins un petit génie, même si j’étais presque toujours la première de classe.

Durant la session de thérapie de ce matin, j’ai vu ma chambre comme mon espace de lumière et de ressourcement. C’était le seul endroit où je me sentais en paix et loin de la violence qui sévissait quasiment quotidiennement dans la maison.

Quand la porte s’est refermée après la visite de ces dames, mon inconscient a imprimé une association d’idées fort incongrue mais qui m’aura marquée pour le restant de mes jours : mon havre de paix venait de devenir ma prison, une boite dont on ferme la porte et où on me garde « petite », sans encouragements, sans reconnaissance. On savait que cette « boite » contenait un petit génie mais il ne fallait pas qu’il le sache.

Aussi, pour moi, à l’époque, ouvrir et passer la porte de ma chambre pour en sortir relevait du courage car je pouvais alors y rencontrer agressivité, rejet, écrasement psychologique et même violence. Je n’avais pas le droit de m’exprimer sur mes points de vue sans être prise en faute voire même giflée. Ma chambre était ma seule sécurité. J’ai appris à l’aimer et à apprécier la solitude que j’y vivais.

Cet espace et cette façon de vivre m’empêchait aussi de me faire des amis puisque j’avais peur de tout le monde, des critiques, des voisins qui m’attendaient chaque jour à la sortie de l’école pour m’embêter, des chicanes. Je ne me sentais en sécurité que seule dans ma chambre ou avec ma maman quand son mari n’était pas là.

Au cours de cette session de ce matin, j’ai vu à quel point ma chambre, ma solitude que j’aimais pour la paix qu’elle m’apportait, la façon dont les gens me considéraient tout en me m’en parlant jamais (première de classe, qui réussit tout ce qu’elle touche, etc.), m’ont fait me sentir si petite intérieurement. Grande comme un petit poids.

J’ai toujours tout fait pour me cacher, ne pas me montrer, profondément timide et insécure, ayant profondément peur des critiques, des chicanes, de la violence.

Même si je suis connue et personnage public, j’ai toujours préféré rester derrière mon ordinateur, par exemple, à travers l’écriture plutôt que des audios et, encore moins, des vidéos.

J’avais un potentiel, des capacités, du génie mais on ne me l’a jamais reflété positivement, encouragé, apprécié clairement, jusqu’au jour où, en dernière année de lycée, alors que je venais de passer le concours de l’école d’infirmières de Genève – que j’avais réussi haut la main -, mes parent me disent « Tu es bien trop intelligente pour faire seulement infirmière ».

J’ai fait trois fois la première année de médecine avant d’aller en psychologie, contre l’avis familial car, pour eux, les psys étaient pour les fous. J’ai fait une session et j’ai tout lâché pour venir me trouver au Québec, en 1986.

Le chemin a été long. Ce n’est qu’en 2006 que j’ai eu mon diplôme de psychothérapeute (titre qu’on pouvait encore porter à l’époque, ce qui n’est plus le cas aujourd’hui).

La médecine n’était pas moi. J’ai passé à côté de ma vocation et j’ai regretté longtemps d’avoir écouté mes parents qui pensaient mieux savoir que moi qu’est-ce que ma vie devait être alors que mon rêve était de devenir infirmière pour aller travailler dans le Tiers-Monde.

Avec les années, mes amis vous diraient que je suis devenue médecin des âmes plutôt que du corps physique et c’est vrai. Je prendrai toujours soin de mes prochains, de leur âme, de leur coeur. Pour moi, ces blessures sont les plus importantes à soigner.

A la fin de la session de ce matin, j’ai vu les polarités qui étaient en moi se retrouver en équilibre avant de se fondre dans l’univers, entre me sentir toute petite, d’un côté, et prendre pleinement ma place dans la société, de l’autre.

Toujours dans le processus de ce matin, j’ai finalement ouvert la porte de ma chambre et suis allée dans le hall. J’ai alors trouvé mes parents qui m’ont accueillie pleinement avec beaucoup de reconnaissance et de gratitude, puis toute la famille et mes profs dont certains m’avaient mal traitées, pensant toujours mieux savoir que moi et me faisant croire que je n’étais pas bonne. Je pense notamment à ce prof de français au lycée qui me mettait les pires notes alors que j’ai toujours aimé écrire… et que bien du monde me disent aujourd’hui combien ils trouvent que j’ai une belle plume…

J’ai senti ce matin que j’osais enfin prendre ma place et que j’étais reconnue et appréciée simplement et véritablement.

J’ai senti l’énergie descendre dans mes pieds et des blocs de ciment se former énergétiquement autour de mes chevilles et de mes pieds, m’ancrant fermement à la Terre, m’offrant toute ma place et m’y tenant solidement.

Je suis heureuse de ces dénouements qui me font croire que j’arrive enfin au bout du tunnel et que je vais enfin pouvoir accueillir l’abondance infinie à tous les niveaux de ma vie…

Merci la Vie, merci à Moi. Merci à ma famille et à mes amis, à mes lecteurs et à mes contacts comme vous qui, toujours là, me lisez et appréciez mes partages.

Mon plus beau cadeau, c’est de sentir, sans forcément savoir, que mes mots aident d’autres personnes à toujours garder espoir en leurs rêves et qu’ils ont la foi, comme moi, qu’un jour ils se réaliseront.

Main dans la main avec Soi et avec la Vie

De tout coeur,
Dominique

 

10 juillet 2021

Nouvelle étape dans mon cheminement. Depuis avril, je travaille 15h par semaine pour un client (contrat alimentaire) en plus des consultations et des pratiques avec des collègues.

Ces derniers jours, j’ai commencé à sentir que je n’ai plus de temps pour me vider la tête et laisser émerger ce qui mijote en moi. Je ne suis plus dans un espace créatif de ma vie, dans ce que j’aime vraiment, mais plutôt dans une espèce de routine. Quand j’arrive à une telle étape, c’est qu’il est temps que je passe à autre chose sinon je vais commencer à déprimer.

Avant-hier, je disais à une amie qu’il est temps que je retrouve du temps pour créer. Ma vie est devenue trop routinière, d’une part, et que je ne me sens plus de travailler pour ce client. Ma tête n’a pas la configuration d’une secrétaire et mon coeur n’y est plus du tout. Sans ce travail, cependant, je « perdrais » une grosse partie de mes revenus. C’était à bien y penser.

« L’avantage » que j’ai est que le « manque » d’argent ne m’insécurise pas. Je sais qu’il y en aura toujours et j’ai l’habitude. Je vis avec très peu depuis très longtemps.

Sauf que, justement, je suis en processus pour en gagner beaucoup, beaucoup plus, pour manifester une abondance beaucoup plus grande et, pour ça, j’ai besoin de temps et d’espace pour créer ce qui va m’apporter cette abondance.

Même si ce ne sont que 15h par semaine que j’utilise pour un client, ce sont 5 après-midis dont je ne dispose pas pour mes affaires. En plus, comme c’est un contrat qui m’oblige à me prendre la tête, j’en sors fatiguée chaque jour et je n’aime pas. Le « travail », pour moi, doit être joyeux, créatif, épanouissant et pas prise de tête. Surtout, je dois l’aimer pour m’y épanouir et là, ce n’est vraiment pas le cas.

Ce n’est pas la première fois de ma vie que je m’apprêtais à faire un saut dans le vide sans savoir quel filet m’attendait. J’aime bien les défis et je sais que je suis toujours bien guidée. Je sentais que mon temps se terminait avec ce client mais je n’avais pas encore eu le déclencheur pour y mettre un terme.

Je laissais au temps et à l’univers le soin de me montrer comment cela allait se passer. Je n’avais pas posé de délai. J’avais juste des feelings et je faisais confiance que tout allait se passer quand ce serait le temps. Mon feeling, depuis un certain temps, était que je terminais ma collaboration avec lui le 16 juillet, juste avant d’aller animer La Grande Traversée en Estrie.

Hier, alors que je me cassais la tête à tenter de comprendre, encore une fois, ce que ce client voulait me dire (quand c’est évident pour l’un, ça ne l’est pas forcément pour l’autre !), il a fini par m’appeler (on est chacun chez soi en télétravail et on échange juste par emails), énervé et impatient que je ne comprenne pas ce qu’il voulait m’expliquer. J’ai bien tenté de lui faire comprendre que, pour moi, ce qu’il me disait n’était pas clair ni évident, c’est tout juste s’il ne m’a pas dit que j’étais stupide.

– Je pense qu’il est temps que tu te trouves quelqu’un d’autre, lui ai-je alors dit gentiment.

Ça m’est sorti tout seul, tout calmement, de façon très posée.

– Oui, c’est ce que je vais faire. Je pense que c’est ce qu’il y a de mieux. De toute façon, ce travail, ce n’est pas toi, a-t-il répondu après trois secondes de silence.

– Effectivement, ce n’est pas moi…

Je venais de lui donner ma démission ou, plutôt, de le recaler en tant que client. ll y a toujours au moins deux façons de voir chaque situation. En l’occurrence, de rester dans la soumission ou de prendre sa place et se faire respecter.

En tant que travailleur autonome, nous pouvons rester dans la soumission du « le client est roi » ou oeuvrer dans le respect et la reconnaissance mutuelle, ce qui permet alors une collaboration agréable, paisible et même joyeuse.

Pour qu’une collaboration soit agréable, constructive et remplie de succès, le client et le fournisseur – de même que le patron et l’employé – doivent avoir une belle entente. Ce sont deux êtres à part entière qui s’entraident à la réussite de chacun.

Quand le temps est venu de faire le saut vers le mieux, vers SA vie, SON temps, SES créations, la vie nous amène exactement ce dont on a besoin pour se lancer avec confiance dans un nouvel inconnu, même si on n’a peut-être encore aucune idée de ce qui va nous arriver après.

Le « comment », l’univers s’en occupe. Ce qui compte, c’est la décision claire et sans aucun doute qu’il est temps de passer à une nouvelle étape de vie car on n’est plus bien dans l’actuelle. C’est alors que tout se déclenche et se place tout seul pour que le meilleur soit pour SOI. C’est ce que j’ai fait en réalisant et admettant, ces derniers jours, que je n’étais plus heureuse dans ce contrat.

Je n’avais pas prévu que tout se placerait dans les 24h mais je sais que, quand on est clair dans notre décision et nos intentions, les choses se passent rapidement et justement. Quand on est aligné à Soi, l’univers met alors tout ce dont on a besoin sur notre chemin pour atteindre nos objectifs et réaliser nos rêves.

J’ai ensuite envoyé un email à ce client lui confirmant la fin de notre collaboration au 16 juillet. Il m’a juste répondu « C’est parfait, merci pour tout ». Et voilà, tout calmement, simplement.

Quand on sent que quelque chose est profondément clair et juste à l’intérieur de soi, cela ne sert à rien de se battre contre pour toutes sortes de raisons. On s’énerve, alors, on ne s’aime plus, on se dissocie de soi-même pour tenter de se faire apprécier des autres mais on n’est pas à SA place.

C’est là qu’il est temps de prendre UNE décision, tellement claire qu’elle va balayer tous les doutes du revers de la main et nous amener exactement là où on veut aller, même si la destination est éventuellement encore floue, insécurisante, qu’on a l’impression d’un vide qui nous attend. C’est un plein, en réalité, un plein de SOI.

Cela ne veut pas dire qu’on n’aura pas – éventuellement mais pas toujours – quelques croûtes à tartiner d’amour sur notre chemin, des croûtes de croyances limitantes, résistances, blessures, peurs inconscientes à laisser émerger, accueillir et guérir.

Cela veut dire qu’on prend SA place et qu’on s’en va sur SON propre chemin, le seul vrai que nous devons suivre pour être heureux.

Et vous, êtes-vous sur VOTRE chemin ?!
Pour le savoir, écoutez votre coeur et ressentez ce que vos tripes ont à dire… <3

PS : il reste 2 places pour La Grande Traversée au Québec du 18 au 23 juillet et j’aurai des créneaux disponibles pour des consultations dès le 28 juillet.

Aussi, en tout temps, vous pouvez m’écrire pour me parler.

De tout coeur

Dominique Jeanneret

 

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4 thoughts on “Un nouveau tournant de vie

  1. Merci Dominique, pour ces bonnes paroles dans lesquelles je me retrouve avec ce passé difficile à oublier. Je vous souhaite bon courage. Merci encore. md.

    1. Chère Michèle, le passé reste dans nos souvenirs mais nous ne sommes pas obligés d’en souffrir. Telle est la mission de la thérapie : guérir les blessures afin que les souvenirs ne fassent plus mal et qu’on soit libérés de leur souffrance. Je vous souhaite le meilleur et n’hésitez pas si vous voulez me parler. Prenez soin de vous :-))

  2. Une douceur, une simplicité et aussi une sincérité touchante dans vos mots.
    Un joli témoignage plein de courage, de délicatesse et cette bienveillance tournée vers les autres.
    Vos maux résonnent et cela fait du Bien. Gratitude !